Atelier de fabrication de pièces en matière composite pour l'industrie aéronautique
L'entreprise Stelia Aerospace Composites fabrique notamment des pièces de structures en matériaux composites pour hélicoptères (réservoirs à carburant, etc.) et avions (trappe d'atterrissage de l'A320...).
À l’occasion de la restructuration de l’un de ses ateliers, elle a identifié les principaux risques (bruit, produits chimiques, éclairement), puis a fait appel à la CARSAT Aquitaine afin de limiter ces risques au maximum lors de la conception du nouvel atelier.
Éclairage artificiel
Objectif de Prévention
- Supprimer ou réduire les risques de chutes, heurts, fatigue oculaire, inconfort visuel... liés à :
- l'inadéquation de l'éclairage artificiel à la tache à effectuer ;
- l'implantation et la configuration de l'éclairage.
Éclairage général de l'atelier
Éclairage de l'atelier assuré par une installation d'éclairage général artificiel (153 luminaires équipés de 2 tubes fluorescents, hauteur de suspension 5,3 m) calculée pour donner un éclairage général uniforme minimum de 500 lux.
Le niveau d'éclairement moyen généré par l'éclairage artificiel mesuré sur 80 plans ou zones de travail est de 740 lux. En journée, avec l'apport de l'éclairage naturel le niveau moyen mesuré aux mêmes postes passe à 1300 lux.
Dans la zone centrale de l'atelier le niveau d'éclairement à certains postes de travail peut dépasser les 3000 lux avec l’apport de lumière naturelle de la voûte zénithale.
Poste usinage/finition manche à air
AVANT
APRÈS
Poste d'assemblage "trappe"
Poste de travail d’assemblage (travail de précision) avec dispositif d’éclairage d’appoint intégré permettant d’atteindre des niveaux d’éclairement supérieur à 1000 lux (complément de l’éclairage naturel et de l’éclairage artificiel général).
Éclairage d'appoint intégré.
Poste de travail d’assemblage (travail de précision) avec dispositif d’éclairage d’appoint intégré permettant d’atteindre des niveaux d’éclairement supérieur à 1000 lux (complément de l’éclairage naturel et de l’éclairage artificiel général).
© Rodolphe Escher pour l'INRS
